Le canular de l'Holocauste dévoilé
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Le canular de l'Holocauste dévoilé
Présentation. La recherche sur l’Holocauste est une entreprise dangereuse. Aujourd’hui, si un livre semblable à celui que vous tenez en main était publié en Europe, son auteur serait arrêté et emprisonné. Le crime : remettre en question le conte de l’Holocauste. En fait, des chercheurs ont subi l’incarcération en solitaire, des raclées sauvages par des assaillants, le harcèlement continuel, de longues batailles juridiques, le suicide de carrière et l’attaque des médias dirigée contre eux - tout ça parce qu’ils présentaient une histoire révisionniste de cet événement central. D’autres écrivains révisionnistes ont été victimes de crimes haineux, de nombreuses campagnes de diffamation, de menace d’amendes et de mort. Les auteurs cachés derrière ces tactiques d’état policier font partie de toute une industrie sur l’Holocauste vouée à la suppression de toute information factuelle, et ce pour favoriser le colportage d’un maladroit dosage de propagande bourrée d’erreurs. Le canular de l’Holocauste dévoilé dissèque chacun des éléments de ce qui est devenu la conspiration la plus monstrueuse du 20e siècle. Ce livre couvre la mythologie entourant les « camps de la mort », la vérité concernant le Zyklon B, la fable d’Anne Franck, comment le chiffre absurde de « 6 millions » est devenu ridicule et plus encore. L’industrie de l’Holocauste s’est transformée en dictature tyrannique qui manipule, déforme, marginalise et fabrique sans cesse de fausses conclusions pour renflouer son navire qui sombre. En amenant leurs obsessions hystériques au niveau de la psychopathie, les charlatans cachés derrière cette ruse montrent de manière évidente la faiblesse du fondement de leurs arguments. ...
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Dernière édition par Ismael-Y le Mar 6 Oct - 14:25, édité 1 fois
Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Mahler Horst - Dernier discours avant sa remise en prison
Il se pourrait que ce soit la dernière occasion qui me soit donnée de m'adresser à mes compatriotes allemands. Je suis censé continuer à purger ma peine d'emprisonnement le 19 avril 2017 pour encore 3 ans et demi. J'ai 81 ans et il y a trois autres accusations en attente, et c'est toujours la même chose : l'incitation (à la haine) - cette fois, au détriment des juifs. C'est donc une occasion pour eux de me soustraire de la sphère publique m'ôtant toute chance de revenir à la politique. J'aimerais profiter de cette occasion pour délivrer quelques informations sur cette situation particulière, et celle qui nous attend. La raison pour laquelle ils ont décidé de me remettre en prison est due à une conférence que j'ai donnée à Ludwigshafen le 9 janvier 2017, ce qui a à l'évidence ébranlé et mis en colère l'ennemi. Ici, ils jouent à un jeu qui n'est pas encore parvenu du tout à l'attention du public. (Initialement,) j'ai été condamné à 10 ans et 2 mois de prison. Ayant effectué les deux tiers de ma condamnation, conformément à la loi allemande, j'ai maintenant le droit de sortir de prison en liberté conditionnelle. Cette décision a été accueillie en ma faveur par le juge responsable du tribunal régional de Potsdam. Dans une déclaration écrite, il a donné les raisons de sa décision disant que la poursuite de mon emprisonnement constituerait une violation des droits de l'homme. Et il a également souligné que : 1 - Il était inquiet quant à la condamnation légale du soi-disant déni de l'holocauste, et 2 - Que ma peine de 10 ans et 2 mois de prison était complètement insolite. Il a comparé (cette sentence) avec les peines pour les violeurs et les meurtriers, qui ont eux des sentences beaucoup plus légères. En d'autres termes, il s'est montré plutôt franc et audacieux, mais sa décision en ma faveur a déjà été révoquée par les autorités supérieures. En conséquence, je dois maintenant purger le reste de ma peine en détention. L'exécution de la peine a donc été interrompue uniquement parce que j'étais temporairement inapte à la prison en raison de ma santé. Cela a commencé avec l'amputation de ma jambe gauche, jusqu’au genou, ce qui nuit à ma mobilité de façon importante maintenant. Avant cela, il y eut une série de problèmes de santé qui ont finalement mené à cette amputation. Dans l'ensemble, on m'a diagnostiqué 21 maladies, dont une insuffisance cardiaque, une insuffisance rénale, etc. Tous les médecins ont déclaré : "Il n'est pas apte à la prison". Il s'agissait alors d'une lutte, surtout pour ma femme qui a été très efficace, pour amener le procureur de l'État à Munich à accepter que mon emprisonnement soit interrompu pour des raisons de santé. C'était en août 2015. Depuis lors, je n'ai pas recouvré la liberté, mais je me suis retrouvé dans une espèce de limbe, avec la menace constante d'être renvoyé en prison. L'ensemble de la procédure fut artificiellement prolongé en négligeant une accusation qui avait été portée contre moi en 2014, qu'ils utilisent maintenant pour justifier leur refus de mon acquittement des deux tiers. Habituellement, le tribunal décide dans les 4 semaines si une accusation est justifiée et sera poursuivie, ou si elle est rejetée parce qu'elle est injustifiée -mais cette décision est en suspens depuis TROIS ans ! L'un des juges présidents a été remplacé conformément à son souhait. Un autre a joué contre le temps en commandant une évaluation psychiatrique. Ils ne voulaient pas prendre une décision. ...
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Il se pourrait que ce soit la dernière occasion qui me soit donnée de m'adresser à mes compatriotes allemands. Je suis censé continuer à purger ma peine d'emprisonnement le 19 avril 2017 pour encore 3 ans et demi. J'ai 81 ans et il y a trois autres accusations en attente, et c'est toujours la même chose : l'incitation (à la haine) - cette fois, au détriment des juifs. C'est donc une occasion pour eux de me soustraire de la sphère publique m'ôtant toute chance de revenir à la politique. J'aimerais profiter de cette occasion pour délivrer quelques informations sur cette situation particulière, et celle qui nous attend. La raison pour laquelle ils ont décidé de me remettre en prison est due à une conférence que j'ai donnée à Ludwigshafen le 9 janvier 2017, ce qui a à l'évidence ébranlé et mis en colère l'ennemi. Ici, ils jouent à un jeu qui n'est pas encore parvenu du tout à l'attention du public. (Initialement,) j'ai été condamné à 10 ans et 2 mois de prison. Ayant effectué les deux tiers de ma condamnation, conformément à la loi allemande, j'ai maintenant le droit de sortir de prison en liberté conditionnelle. Cette décision a été accueillie en ma faveur par le juge responsable du tribunal régional de Potsdam. Dans une déclaration écrite, il a donné les raisons de sa décision disant que la poursuite de mon emprisonnement constituerait une violation des droits de l'homme. Et il a également souligné que : 1 - Il était inquiet quant à la condamnation légale du soi-disant déni de l'holocauste, et 2 - Que ma peine de 10 ans et 2 mois de prison était complètement insolite. Il a comparé (cette sentence) avec les peines pour les violeurs et les meurtriers, qui ont eux des sentences beaucoup plus légères. En d'autres termes, il s'est montré plutôt franc et audacieux, mais sa décision en ma faveur a déjà été révoquée par les autorités supérieures. En conséquence, je dois maintenant purger le reste de ma peine en détention. L'exécution de la peine a donc été interrompue uniquement parce que j'étais temporairement inapte à la prison en raison de ma santé. Cela a commencé avec l'amputation de ma jambe gauche, jusqu’au genou, ce qui nuit à ma mobilité de façon importante maintenant. Avant cela, il y eut une série de problèmes de santé qui ont finalement mené à cette amputation. Dans l'ensemble, on m'a diagnostiqué 21 maladies, dont une insuffisance cardiaque, une insuffisance rénale, etc. Tous les médecins ont déclaré : "Il n'est pas apte à la prison". Il s'agissait alors d'une lutte, surtout pour ma femme qui a été très efficace, pour amener le procureur de l'État à Munich à accepter que mon emprisonnement soit interrompu pour des raisons de santé. C'était en août 2015. Depuis lors, je n'ai pas recouvré la liberté, mais je me suis retrouvé dans une espèce de limbe, avec la menace constante d'être renvoyé en prison. L'ensemble de la procédure fut artificiellement prolongé en négligeant une accusation qui avait été portée contre moi en 2014, qu'ils utilisent maintenant pour justifier leur refus de mon acquittement des deux tiers. Habituellement, le tribunal décide dans les 4 semaines si une accusation est justifiée et sera poursuivie, ou si elle est rejetée parce qu'elle est injustifiée -mais cette décision est en suspens depuis TROIS ans ! L'un des juges présidents a été remplacé conformément à son souhait. Un autre a joué contre le temps en commandant une évaluation psychiatrique. Ils ne voulaient pas prendre une décision. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Sur les mémoires d'Eichmann. Incapables d'apporter un seule preuve tangible de l'existence des chambres à gaz homicides et de !'Holocauste, les Juifs en sont réduits à créer, de loin en loin, des " événements " médiatiques. Le dernier en date est la publication, en Israël et sur Internet, des mémoires d'Eichmann. En Belgique, Radio Judaïca a déclaré que cette publication avait été décidée pour contrer le négationnisme. De qui se moque-t-on ? Si, vraiment, le papiers laissés par Eichmann avaient une quelconque valeur historique, ils auraient été publiés depuis longtemps. Telle est la raison pour laquelle l'équipe du VHO ne perdra pas son temps à étudier et à réfuter les derniers écrits de celui qui a été jugé en pendu en Israël. Le vrai débat est ailleurs ; il se situe sur le plan de la topographie et de la chimie. Si, vraiment, les locaux d'Auschwitz- Birkenau présentés aujourd'hui comme des chambres à gaz homicides avaient été utilisés à cette fin, on devrait retrouver des traces de ferrocyanures dans les murs et des trous dans le plafond (dispositifs d'introduction des cristaux de cyanures). Le fait qu'on ne retrouve rien de tel suffit à donner raison aux révisionnistes. Comme le répète Robert Faurisson depuis des années : « No holes, no Holocaust » (Pas de trous, pas d'Holocauste). Les mémoires d'Eichmann et le gesticulations des chefs d'État ou de Gouvernement à Stockholm n'y changeront rien. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Porter Carlos Whitlock - Reynouard Vincent - Holocauste Le vide documentaire
En 1993, l'Administration des Archives et des Dossiers nationaux (National Archives and Records Administration), installée à Washington DC, a publié une brochure de 37 pages intitulée : Holocauste : la preuve documentaire (Holocaust. The documentary evidence). Il s'agit d'un petit recueil de 33 documents choisis, traduits et légendés par Robert Wolfe. ...
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En 1993, l'Administration des Archives et des Dossiers nationaux (National Archives and Records Administration), installée à Washington DC, a publié une brochure de 37 pages intitulée : Holocauste : la preuve documentaire (Holocaust. The documentary evidence). Il s'agit d'un petit recueil de 33 documents choisis, traduits et légendés par Robert Wolfe. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Graf Jürgen - L'holocauste au scanner
Favorable aux Alliés et secourable aux juifs, Pie XII était aussi révisionniste. C’est précisément son scepticisme de révisionniste, et non pas une quelconque ignorance des faits, qui explique son silence sur la prétendue extermination physique des juifs, sur les prétendues chambres à gaz nazies et sur les prétendues six millions de victimes juives de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’Holocauste » ou « la Shoah ». Favorable aux Alliés, il est allé jusqu’à se faire, en 1940, l’intermédiaire entre, d’une part, des opposants du régime de Hitler et, d’autre part, la France et la Grande-Bretagne. Mieux : en 1941, ayant à choisir entre Hitler et Staline, il a décidé, à la demande de Roosevelt, de choisir Staline. Pourtant « Uncle Joe » incarnait ce communisme que, quatre ans auparavant, une encyclique avait stigmatisé comme étant « intrinsèquement pervers ». Aussi l’armée allemande allaitelle voir ses propres soldats, souvent catholiques, et des aumôniers de la Wehrmacht se faire tuer à l’Est par des armes américaines fournies aux communistes avec la secrète bénédiction du Pape. Les Allemands rouvraient les églises fermées par les Soviétiques mais, plus tard, au procès de Nuremberg, ils se verront accuser – notamment par un procureur soviétique – de persécution religieuse. Au Vatican nul ne protestera contre la criminelle mascarade judiciaire de Nuremberg. ...
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Favorable aux Alliés et secourable aux juifs, Pie XII était aussi révisionniste. C’est précisément son scepticisme de révisionniste, et non pas une quelconque ignorance des faits, qui explique son silence sur la prétendue extermination physique des juifs, sur les prétendues chambres à gaz nazies et sur les prétendues six millions de victimes juives de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’Holocauste » ou « la Shoah ». Favorable aux Alliés, il est allé jusqu’à se faire, en 1940, l’intermédiaire entre, d’une part, des opposants du régime de Hitler et, d’autre part, la France et la Grande-Bretagne. Mieux : en 1941, ayant à choisir entre Hitler et Staline, il a décidé, à la demande de Roosevelt, de choisir Staline. Pourtant « Uncle Joe » incarnait ce communisme que, quatre ans auparavant, une encyclique avait stigmatisé comme étant « intrinsèquement pervers ». Aussi l’armée allemande allaitelle voir ses propres soldats, souvent catholiques, et des aumôniers de la Wehrmacht se faire tuer à l’Est par des armes américaines fournies aux communistes avec la secrète bénédiction du Pape. Les Allemands rouvraient les églises fermées par les Soviétiques mais, plus tard, au procès de Nuremberg, ils se verront accuser – notamment par un procureur soviétique – de persécution religieuse. Au Vatican nul ne protestera contre la criminelle mascarade judiciaire de Nuremberg. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Graf Jürgen - Anatomie d'une falsification de l'Histoire
L’Histoire comporte des témoignages, des principes et des méthodes. Il faut se défier des témoignages, douter des principes et n’accepter que les méthodes. Gustave Le Bon, 1918. 1. Introduction. Le rapport Bergier, commandité par le Conseil fédéral en date du 19 décembre 1996, fut publié en décembre 1999 sous le titre La Suisse et les réfugiés à l’époque du national-socialisme 1 . Il fallut presque trois ans à la «Commission Indépendante d’Experts», dirigée par le professeur Jean-François Bergier, pour accomplir cette tâche, dont la finalité était connue d’emblée: clouer la Suisse au pilori, en tant qu’Etat complice de l’ «Holocauste», inculquer ainsi à sa population un sentiment de culpabilité, créer enfin les conditions psychologiques en faveur de l’acceptation d’une immigration massive et illimitée 2 . Que le Conseil fédéral n’ait pas jugé opportune une étude objective et pondérée de la politique d’asile de la Suisse durant la Seconde Guerre mondiale, la composition de la commission chargée de l’élaboration de ce rapport en témoigne éloquemment. Dans ces conditions, il y avait tout lieu de craindre que l’orientation des recherches ne soit compatible avec une démarche véritablement impartiale. Ainsi, le but de l’entreprise était prévisible: flétrir la Suisse en tant qu’Etat ayant eu connaissance de l’ «Holocauste», et par là dénoncer sa connivence avec les auteurs de ce crime. Pourtant, à lire les communiqués de presse du Conseil fédéral commentant ce cadeau de Noël empoisonné, il apparaît que nos autorités n’en ont guère été enchantées. Le contexte international qui prévalait durant la Mob aurait trop peu compté dans la rédaction du rapport, osèrent murmurer à Berne les sept Sages, quelque peu échaudés 3 . En effet! Bergier et son équipe ont outrepassé les limites de la mission qui leur avait été confiée. L’orientation de leurs «recherches» a manifestement fait fi des desiderata de leur commanditaire, et cela d’une manière si effrontée que le Conseil fédéral lui-même s’en est trouvé embarrassé. En aucun endroit les auteurs du rapport ne laissent transparaître la moindre compréhension pour la situation dramatique dans laquelle se trouvait une Suisse encerclée par des puissances hostiles, durant les six années terribles que dura le conflit. Dans les circonstances d’alors, la tâche décisive qui incombait au Conseil fédéral comme aux citoyens consistait à maintenir notre pays hors du conflit et à assurer les besoins de la population. Ce but a été atteint. Placé devant le choix de soustraire à la misère sa propre famille, ou bien une famille qui lui serait étrangère, Monsieur Bergier, n’en doutons pas, opterait pour la première solution. Et n’oublions pas que la législation en vigueur prescrivait absolument à notre gouvernement d’alors le souci prioritaire de sa propre population avant celui des étrangers. Les générations d’après-guerre peuvent à peine se représenter que, durant ces années, beaucoup de Suisses souffrirent réellement de la faim. Je me suis entretenu dernièrement avec un contemporain de la génération du service actif, qui me renseigna sur la période de son école de recrues effectuée en Valais, en 1942; il avait encore en mémoire la discipline de fer et les travaux pénibles qu’il dut supporter en tant que jeune soldat apte au service, le plus dur ayant été la faim persistante, car tous les vivres, y compris le pain et les pommes de terre, étaient strictement rationnés pour la troupe. Nous ne prétendons pas ici qu’il s’agissait d’un problème touchant l’ensemble du pays; il semble que cette situation due à un rationnement sévère ait quand même prévalu dans quelques régions périphériques, mais surtout à l’intérieur du pays où la production agricole était régulièrement réquisitionnée. Une politique des frontières ouvertes aurait certainement conduit à une invasion de réfugiés et, dans un temps très bref, à une catastrophe en matière d’approvisionnement en nourriture. Qui cela aurait-il arrangé ? Malgré la pénurie qui frappait la population, la Suisse se montra alors bien plus généreuse envers les étrangers que d’autres pays, comme par exemple la Suède. Même si sa situation géographique au milieu de l’Europe signifiait qu’elle était plus exposée que cet Etat d’Europe du Nord, la Suisse a accueilli, durant la guerre, quelque 21 000 réfugiés d’origine juive, alors que la Suède n’en a accepté que 8 000 4 . Dans l’ensemble, plus de 300 000 étrangers (soldats, réfugiés civils, enfants accueillis en vacances ou pour des séjours de convalescence, etc.) ont trouvé, en Suisse, un accueil durable ou temporaire 5 . On chercherait en vain, dans le rapport Bergier, un mot de reconnaissance pour cette oeuvre humanitaire. Par contre, cette reconnaissance est encore vivante chez ces Juifs qui ont trouvé refuge dans notre pays. Eux n’ont pas oublié ce qu’ils doivent à ce pays. Dans une lettre de lecteur publiée par la Neue Zürcher Zeitung, le 18 janvier 2000, Susi Weill, entrée en Suisse avec ses parents, au mois d’avril 1943, déclare: Mes parents avaient tenté en vain d’émigrer en Amérique, et aujourd’hui c’est un fait établi que les représentations américaines en Europe avaient reçu l’ordre d’écarter de telles demandes. L’Amérique n’était pourtant ni cernée ni menacée. Je suis vraiment très reconnaissante à la Suisse de nous avoir alors accueillis et aussi de m’avoir autorisée à demeurer dans ce pays après la guerre. ...
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L’Histoire comporte des témoignages, des principes et des méthodes. Il faut se défier des témoignages, douter des principes et n’accepter que les méthodes. Gustave Le Bon, 1918. 1. Introduction. Le rapport Bergier, commandité par le Conseil fédéral en date du 19 décembre 1996, fut publié en décembre 1999 sous le titre La Suisse et les réfugiés à l’époque du national-socialisme 1 . Il fallut presque trois ans à la «Commission Indépendante d’Experts», dirigée par le professeur Jean-François Bergier, pour accomplir cette tâche, dont la finalité était connue d’emblée: clouer la Suisse au pilori, en tant qu’Etat complice de l’ «Holocauste», inculquer ainsi à sa population un sentiment de culpabilité, créer enfin les conditions psychologiques en faveur de l’acceptation d’une immigration massive et illimitée 2 . Que le Conseil fédéral n’ait pas jugé opportune une étude objective et pondérée de la politique d’asile de la Suisse durant la Seconde Guerre mondiale, la composition de la commission chargée de l’élaboration de ce rapport en témoigne éloquemment. Dans ces conditions, il y avait tout lieu de craindre que l’orientation des recherches ne soit compatible avec une démarche véritablement impartiale. Ainsi, le but de l’entreprise était prévisible: flétrir la Suisse en tant qu’Etat ayant eu connaissance de l’ «Holocauste», et par là dénoncer sa connivence avec les auteurs de ce crime. Pourtant, à lire les communiqués de presse du Conseil fédéral commentant ce cadeau de Noël empoisonné, il apparaît que nos autorités n’en ont guère été enchantées. Le contexte international qui prévalait durant la Mob aurait trop peu compté dans la rédaction du rapport, osèrent murmurer à Berne les sept Sages, quelque peu échaudés 3 . En effet! Bergier et son équipe ont outrepassé les limites de la mission qui leur avait été confiée. L’orientation de leurs «recherches» a manifestement fait fi des desiderata de leur commanditaire, et cela d’une manière si effrontée que le Conseil fédéral lui-même s’en est trouvé embarrassé. En aucun endroit les auteurs du rapport ne laissent transparaître la moindre compréhension pour la situation dramatique dans laquelle se trouvait une Suisse encerclée par des puissances hostiles, durant les six années terribles que dura le conflit. Dans les circonstances d’alors, la tâche décisive qui incombait au Conseil fédéral comme aux citoyens consistait à maintenir notre pays hors du conflit et à assurer les besoins de la population. Ce but a été atteint. Placé devant le choix de soustraire à la misère sa propre famille, ou bien une famille qui lui serait étrangère, Monsieur Bergier, n’en doutons pas, opterait pour la première solution. Et n’oublions pas que la législation en vigueur prescrivait absolument à notre gouvernement d’alors le souci prioritaire de sa propre population avant celui des étrangers. Les générations d’après-guerre peuvent à peine se représenter que, durant ces années, beaucoup de Suisses souffrirent réellement de la faim. Je me suis entretenu dernièrement avec un contemporain de la génération du service actif, qui me renseigna sur la période de son école de recrues effectuée en Valais, en 1942; il avait encore en mémoire la discipline de fer et les travaux pénibles qu’il dut supporter en tant que jeune soldat apte au service, le plus dur ayant été la faim persistante, car tous les vivres, y compris le pain et les pommes de terre, étaient strictement rationnés pour la troupe. Nous ne prétendons pas ici qu’il s’agissait d’un problème touchant l’ensemble du pays; il semble que cette situation due à un rationnement sévère ait quand même prévalu dans quelques régions périphériques, mais surtout à l’intérieur du pays où la production agricole était régulièrement réquisitionnée. Une politique des frontières ouvertes aurait certainement conduit à une invasion de réfugiés et, dans un temps très bref, à une catastrophe en matière d’approvisionnement en nourriture. Qui cela aurait-il arrangé ? Malgré la pénurie qui frappait la population, la Suisse se montra alors bien plus généreuse envers les étrangers que d’autres pays, comme par exemple la Suède. Même si sa situation géographique au milieu de l’Europe signifiait qu’elle était plus exposée que cet Etat d’Europe du Nord, la Suisse a accueilli, durant la guerre, quelque 21 000 réfugiés d’origine juive, alors que la Suède n’en a accepté que 8 000 4 . Dans l’ensemble, plus de 300 000 étrangers (soldats, réfugiés civils, enfants accueillis en vacances ou pour des séjours de convalescence, etc.) ont trouvé, en Suisse, un accueil durable ou temporaire 5 . On chercherait en vain, dans le rapport Bergier, un mot de reconnaissance pour cette oeuvre humanitaire. Par contre, cette reconnaissance est encore vivante chez ces Juifs qui ont trouvé refuge dans notre pays. Eux n’ont pas oublié ce qu’ils doivent à ce pays. Dans une lettre de lecteur publiée par la Neue Zürcher Zeitung, le 18 janvier 2000, Susi Weill, entrée en Suisse avec ses parents, au mois d’avril 1943, déclare: Mes parents avaient tenté en vain d’émigrer en Amérique, et aujourd’hui c’est un fait établi que les représentations américaines en Europe avaient reçu l’ordre d’écarter de telles demandes. L’Amérique n’était pourtant ni cernée ni menacée. Je suis vraiment très reconnaissante à la Suisse de nous avoir alors accueillis et aussi de m’avoir autorisée à demeurer dans ce pays après la guerre. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Reynouard Vincent - Holocauste ? Ce que l'on vous cache
D'après l'histoire officielle, les femmes enceintes et les qui arrivaient à Auschwitz étaient immédiatement exterminés. Pourtant... ...
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D'après l'histoire officielle, les femmes enceintes et les qui arrivaient à Auschwitz étaient immédiatement exterminés. Pourtant... ...
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Reynouard Vincent - 27 janvier 2005 : La contre-religion mondiale de l' "holocauste" a surgi officiellement
Première partie : l'hystérie qui précéda le 27 janvier 2005. Un livre qui pouvait rassurer. ...
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Première partie : l'hystérie qui précéda le 27 janvier 2005. Un livre qui pouvait rassurer. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Faurisson Robert - Les témoins des chambres à gaz d'Auschwitz
Ce texte constitue un chapitre de Grundlagen zur Zeitgeschichte, Ein Handbuch über strittige Fragen des 20. Jahrhunderts, ouvrage collectif publié en 1994 sous la direction d'Ernst Gauss (Germar Rudolf) aux éditions Grabert de Tübingen. Le texte original français est inédit. Le professeur Faurisson a également rédigé l'avant-propos de ce livre très important, qui est classé ici à sa date de rédaction, le 23 septembre 1994. – NdÉ. Favorable aux Alliés et secourable aux juifs, Pie XII était aussi révisionniste. C’est précisément son scepticisme de révisionniste, et non pas une quelconque ignorance des faits, qui explique son silence sur la prétendue extermination physique des juifs, sur les prétendues chambres à gaz nazies et sur les prétendues six millions de victimes juives de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’Holocauste » ou « la Shoah ». Favorable aux Alliés, il est allé jusqu’à se faire, en 1940, l’intermédiaire entre, d’une part, des opposants du régime de Hitler et, d’autre part, la France et la Grande-Bretagne. Mieux : en 1941, ayant à choisir entre Hitler et Staline, il a décidé, à la demande de Roosevelt, de choisir Staline. Pourtant « Uncle Joe » incarnait ce communisme que, quatre ans auparavant, une encyclique avait stigmatisé comme étant « intrinsèquement pervers ». Aussi l’armée allemande allaitelle voir ses propres soldats, souvent catholiques, et des aumôniers de la Wehrmacht se faire tuer à l’Est par des armes américaines fournies aux communistes avec la secrète bénédiction du Pape. Les Allemands rouvraient les églises fermées par les Soviétiques mais, plus tard, au procès de Nuremberg, ils se verront accuser – notamment par un procureur soviétique – de persécution religieuse. Au Vatican nul ne protestera contre la criminelle mascarade judiciaire de Nuremberg. ...
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Ce texte constitue un chapitre de Grundlagen zur Zeitgeschichte, Ein Handbuch über strittige Fragen des 20. Jahrhunderts, ouvrage collectif publié en 1994 sous la direction d'Ernst Gauss (Germar Rudolf) aux éditions Grabert de Tübingen. Le texte original français est inédit. Le professeur Faurisson a également rédigé l'avant-propos de ce livre très important, qui est classé ici à sa date de rédaction, le 23 septembre 1994. – NdÉ. Favorable aux Alliés et secourable aux juifs, Pie XII était aussi révisionniste. C’est précisément son scepticisme de révisionniste, et non pas une quelconque ignorance des faits, qui explique son silence sur la prétendue extermination physique des juifs, sur les prétendues chambres à gaz nazies et sur les prétendues six millions de victimes juives de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’Holocauste » ou « la Shoah ». Favorable aux Alliés, il est allé jusqu’à se faire, en 1940, l’intermédiaire entre, d’une part, des opposants du régime de Hitler et, d’autre part, la France et la Grande-Bretagne. Mieux : en 1941, ayant à choisir entre Hitler et Staline, il a décidé, à la demande de Roosevelt, de choisir Staline. Pourtant « Uncle Joe » incarnait ce communisme que, quatre ans auparavant, une encyclique avait stigmatisé comme étant « intrinsèquement pervers ». Aussi l’armée allemande allaitelle voir ses propres soldats, souvent catholiques, et des aumôniers de la Wehrmacht se faire tuer à l’Est par des armes américaines fournies aux communistes avec la secrète bénédiction du Pape. Les Allemands rouvraient les églises fermées par les Soviétiques mais, plus tard, au procès de Nuremberg, ils se verront accuser – notamment par un procureur soviétique – de persécution religieuse. Au Vatican nul ne protestera contre la criminelle mascarade judiciaire de Nuremberg. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Reynouard Vincent - Les bombardements alliés meurtriers sur la Normandie
En 1984, le quarantième anniversaire de l'invasion alliée (habituellement appelée "débarquement" ou "D-day") avait été fêté en grandes pompes au motif que, dix ans plus tard, pour le cinquantième, il n'y aurait plus assez du vétérans. Juin 1994 est venu et avec lui des commémorations plus fastueuses encore. Et voici maintenant juin 2004 qui connaîtra des cérémonies aussi somptueuses, avec, pour la première fois s'il vous plaît, la participation de l'Allemagne. Bref, contrairement à ce qui avait été annoncé, la baisse inéluctable du nombre de vétérans n'a pas entraîné celle de la fièvre commémorative. Bien au contraire : tout comme pour le prétendu « Holocauste n, moins il y a de « survivants " et plus les fanatiques de la Mémoire s'agitent. ...
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En 1984, le quarantième anniversaire de l'invasion alliée (habituellement appelée "débarquement" ou "D-day") avait été fêté en grandes pompes au motif que, dix ans plus tard, pour le cinquantième, il n'y aurait plus assez du vétérans. Juin 1994 est venu et avec lui des commémorations plus fastueuses encore. Et voici maintenant juin 2004 qui connaîtra des cérémonies aussi somptueuses, avec, pour la première fois s'il vous plaît, la participation de l'Allemagne. Bref, contrairement à ce qui avait été annoncé, la baisse inéluctable du nombre de vétérans n'a pas entraîné celle de la fièvre commémorative. Bien au contraire : tout comme pour le prétendu « Holocauste n, moins il y a de « survivants " et plus les fanatiques de la Mémoire s'agitent. ...
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Reynouard Vincent - La découverte des chambres à gaz du camp de Sobibor Une supercherie intellectuelle
En septembre 2014, la grande presse a annoncé à son de trompe que les chambres à gaz du camp de Sobibor avaient enfin été découvertes. « Il aura fallu attendre près de 70 ans pour découvrir l'endroit exact des chambres à gaz du camp d'extermination de Sobibor » a-t-on pu alors lire. Dans cette brochure, Vincent Reynouard explique pourquoi cette découverte archéologique ne fait nullement avancer le débat sur la réalité du prétendu « Holocauste ». Car à Treblinka, à Sobibor où ailleurs, l'existence dans ces camps de locaux en pierre n'est contestée par personne. C'est leur destination qui fait débat... ...
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En septembre 2014, la grande presse a annoncé à son de trompe que les chambres à gaz du camp de Sobibor avaient enfin été découvertes. « Il aura fallu attendre près de 70 ans pour découvrir l'endroit exact des chambres à gaz du camp d'extermination de Sobibor » a-t-on pu alors lire. Dans cette brochure, Vincent Reynouard explique pourquoi cette découverte archéologique ne fait nullement avancer le débat sur la réalité du prétendu « Holocauste ». Car à Treblinka, à Sobibor où ailleurs, l'existence dans ces camps de locaux en pierre n'est contestée par personne. C'est leur destination qui fait débat... ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Denierbud - Auschwitz, une vérité cachée surprenante
Auschwitz, là où les Allemands ont envoyé les Juifs dans les "chambres à gaz". En voici une représentation cinématographique... Cette histoire est considérée comme la chose la plus horrible qui soit arrivée en Europe, mais quand on y regarde de plus près, ce n'est pas crédible et j'ai de bonnes raisons pour affirmer cela. J'utiliserai des modèles en 3D de la "chambre à gaz" d'Auschwitz, des témoignages oculaires, des images satellite, ainsi que des plans. Mais pouvez-vous penser objectivement, quand il s'agit de quelque chose d'aussi socialement inacceptable? Examinez cet extrait... Barack Obama - Nous savons que le mal n'en a pas fini sur la Terre. Nous l'avons vu durant ce siècle, les charniers et les villages réduits en cendres, les enfants-soldats et le viol employé comme arme de guerre. Encore aujourd'hui, il y a ceux qui insistent sur le fait que l'Holocauste n'a jamais existé. Ils commettent toutes formes d'intolérances: le racisme et l'antisémitisme, l'homophobie, la xénophobie, le sexisme et plus. De la haine qui dégrade les victimes et nous diminue tous. ...
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Auschwitz, là où les Allemands ont envoyé les Juifs dans les "chambres à gaz". En voici une représentation cinématographique... Cette histoire est considérée comme la chose la plus horrible qui soit arrivée en Europe, mais quand on y regarde de plus près, ce n'est pas crédible et j'ai de bonnes raisons pour affirmer cela. J'utiliserai des modèles en 3D de la "chambre à gaz" d'Auschwitz, des témoignages oculaires, des images satellite, ainsi que des plans. Mais pouvez-vous penser objectivement, quand il s'agit de quelque chose d'aussi socialement inacceptable? Examinez cet extrait... Barack Obama - Nous savons que le mal n'en a pas fini sur la Terre. Nous l'avons vu durant ce siècle, les charniers et les villages réduits en cendres, les enfants-soldats et le viol employé comme arme de guerre. Encore aujourd'hui, il y a ceux qui insistent sur le fait que l'Holocauste n'a jamais existé. Ils commettent toutes formes d'intolérances: le racisme et l'antisémitisme, l'homophobie, la xénophobie, le sexisme et plus. De la haine qui dégrade les victimes et nous diminue tous. ...
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Verbeke Herbert - Reynouard Vincent - L'expertise de Richard Krege Le mythe de l'Holocauste est définitivement mort
Pour un révisionnisme militant. L'année 2000 a démontré la vitalité du révisionnisme historique sur le terrain. Malgré les dangers et la répression, des actions militantes ont été (et sont) menées un peu partout, le plus souvent par des groupes autonomes ou des personnes isolées. En voici quelques exemples: En Allemagne. A Stuttgart, des inconnus diffusent d'une manière originale les adresses des sites révisionnistes sur Internet. Non contents d'apposer des centaines d'autocollants dans les cabines téléphoniques, ils se sont procurés des outils qui permettent de soulever les panneaux de verre derrière lesquels sont exposées les : affiches publicitaires dans les abribus. Munis de ces appareils, ils soulèvent les vitres, glissent des autocollants puis remettent le panneau en place. Si bien que personne ne peut faire disparaître les adresses révisionnistes tant que l'entreprise d'affichage n'est pas venue elle-même. ...
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Pour un révisionnisme militant. L'année 2000 a démontré la vitalité du révisionnisme historique sur le terrain. Malgré les dangers et la répression, des actions militantes ont été (et sont) menées un peu partout, le plus souvent par des groupes autonomes ou des personnes isolées. En voici quelques exemples: En Allemagne. A Stuttgart, des inconnus diffusent d'une manière originale les adresses des sites révisionnistes sur Internet. Non contents d'apposer des centaines d'autocollants dans les cabines téléphoniques, ils se sont procurés des outils qui permettent de soulever les panneaux de verre derrière lesquels sont exposées les : affiches publicitaires dans les abribus. Munis de ces appareils, ils soulèvent les vitres, glissent des autocollants puis remettent le panneau en place. Si bien que personne ne peut faire disparaître les adresses révisionnistes tant que l'entreprise d'affichage n'est pas venue elle-même. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Delcroix Eric - La police de la pensée contre le révisionnisme
Nous vivons une seconde Épuration. En France, tandis que le « collabo » se trouve à nouveau pourchassé, toute velléité de résistance aux idées en cours sur « les droits de l'homme » et « la Mémoire » (sélective) est dénoncée par les médias et les ligues, condamnée par des lois spéciales et durement sanctionnée par les juges. La police de la pensée est à la fête. Sa cible d'élection : le révisionnisme historique. En 1986, Pierre Vidal-Naquet, Serge Klarsfeld et François Bédarida, réunis autour du grand rabbin René-Samuel Sirat, préconisent une loi spéciale contre le révisionnisme. Ce sera, en 1990, la loi Fabius-Gayssot. Depuis la publication de cette loi, aucun chercheur, aucun historien, aucun savant ne peut plus contester le jugement de Nuremberg. Ce qu'en 1946 les juges de Nuremberg, au terme d'une mascarade judiciaire, avaient énoncé - sans le prouver - sur la « politique d'extermination des Juifs », sur les « chambres à gaz » homicides et sur les « six millions » est soudain devenu en 1990 une vérité historique définitivement intouchable ! Peine perdue. En France comme à l'étranger, le révisionnisme se développe. Certains pensent qu'il faut persister à censurer, châtier, réprimer. D'autres estiment qu'il faut servir le droit, la liberté, ainsi qu'une mémoire non sélective. Pour ces derniers, la France doit en finir avec les horreurs de l'Épuration, les mensonges de Nuremberg et l'esprit de guerre civile. Le dogme légal né de la loi Fabius-Gayssot constitue une impudente innovation où s'annonce peut-être le crépuscule du droit. Éric Delcroix est né en Normandie en 1944. Avocat au barreau de Paris, il s'est acquis une notoriété dans l'étude des infractions de presse. Ses courageuses prises de position en faveur de la liberté d'expression l'ont amené à devenir le conseil d'un certain nombre d'organes de presse et à présenter, devant les tribunaux, dans des conditions parfois périlleuses, la défense de nombreux révisionnistes, à commencer, dès 1979, par celle du professeur Faurisson. INTRODUCTION. Pour bien des esprits, dont certains sont à courte vue mais qui, pour la plupart, souffrent de la sidération ambiante, la liberté d'expression ne serait guère en danger dans les pays occidentaux. Ces pays jouiraient d'une forme de civilisation qui les mettrait à l'abri des passions surannées et des égarements imputables à la superstition religieuse. En réalité, il n'y a là qu'illusion. Les belles âmes qui réclament la liberté d'expression pour Salman Rushdie ou pour Madame Nasrin sont celles qui, réunies en meute impitoyable, obtiennent la proscription du professeur Faurisson ou de Bernard Notin et, plus généralement, des révisionnistes, vrais ou supposés. Que l'on ne s'y méprenne pas ! Ce qui est ici en jeu n'est pas tant la liberté d'expression, réduite aux droits des individus, que la liberté d'accès, pour un citoyen adulte, à toute information, sans qu'un censeur soit autorisé à passer au crible la masse des informations et à en faire un tri « ad usum Delphini ». Dans les conditions actuelles, c'est-à-dire en présence d'esprits sidérés par les mécanismes de l'ahurissement audiovisuel, cette question est essentielle ; elle l'est d'autant plus que tous les grands médias occidentaux dépendent de l'omnipotence du « gros argent » et relèvent nécessairement d'une logique ploutocratique. Si l'on ne peut plus accéder librement aux écrits révisionnistes, qui nous garantit que d'autres censures ne sont pas - ou ne seront pas - opérées sur d'autres sujets essentiels et même vitaux (dans le domaine du nucléaire, de l'environnement, de la biologie,) ? En accord avec tous les historiens, les auteurs révisionnistes admettent que, durant la seconde guerre mondiale, les Juifs européens ont connu, en grand nombre, la persécution et, parfois, l'internement ou la déportation. Ils reconnaissent l'existence des camps de transit, de travail ou de concentration. Dans certains de ces camps, les Allemands utilisaient des chambres à gaz de désinfection et des fours crématoires. Les Juifs, disent-ils, ont pu souffrir des conditions parfois affreuses des ghettos et des camps. Le travail forcé, la faim, la soif, la chaleur, le froid, la promiscuité et surtout les épidémies, notamment celles de typhus ou de fièvre typhoïde, opéraient leurs ravages. Il ne fait aucun doute que les Juifs européens ont vécu là une tragédie. Mais le reste de l'Europe et l'Asie, on l'oublie volontiers, souffraient également. D'autres communautés que la communauté juive ont durement pâti de la guerre. Et, pour ce qui est des horreurs en tout genre, y compris les déportations, les Alliés en ont perpétré de gigantesques pendant et après la guerre. Ce que les auteurs révisionnistes contestent au terme de recherches approfondies, c'est que l'Allemagne aurait accumulé plus de crimes (et en quantité et en qualité) que ses vainqueurs. Ces derniers n'ont gagné la guerre que parce qu'ils ont, proportionnellement, plus tué que les vaincus, non sans avoir visé tout spécialement les populations civiles (c'est d'ailleurs à cette fin que les Anglo-Saxons avaient inventé les forteresses volantes, bombardiers conçus pour la destruction des villes). Les révisionnistes contestent que l'Allemagne ait eu une politique d'extermination physique des Juifs. Ils contestent l'existence et le fonctionnement de chambres à gaz homicides, véritables abattoirs chimiques qui auraient constitué l'arme spécifique du crime spécifique. Ils contestent enfin le chiffre de six millions de morts juives. En France, ces trois contestations-là sont devenues interdites sous peine de prison et d'amende depuis la publication de la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990. Dans les pages qui suivent je m'efforcerai de montrer que cette loi constitue une monstruosité dans son fondement, dans sa rédaction et dans son application. Je montrerai que des recours sont possibles notamment auprès de la Cour européenne des droits de l'homme et que l'on se trouve dans un cas où les révisionnistes pourraient invoquer le droit de « résistance à l'oppression ». Une nouvelle loi antirévisionniste est en préparation : la loi Korman-Gaubert (né Goldenberg). Elle prévoit contre les révisionnistes une peine de deux ans de prison, une amende de 500 000 francs et d'autres sanctions encore. De telles lois, si étranges, pour certains, à l'aube de l'an 2000, sont intéressantes à étudier. A l'historien, au sociologue, à l'homme politique mais aussi au magistrat, à l'avocat, à l'universitaire et au citoyen elles apportent, sur le fonctionnement de notre société et sur les droits des personnes, bien plus d'informations que ne sauraient le faire les grands médias, tous plus soucieux les uns que les autres de nous masquer les vrais interdits et les vrais tabous de notre temps. Des milliards d'événements qui constituent la trame de l'histoire des hommes peuvent être librement interprétés au gré de chacun. Un seul de ces événements - l'« Holocauste » des Juifs en chambres à gaz entre 1942 et 1944 - est décrété intouchable sous peine d'amende, de prison et aussi, parfois, d'interdiction professionnelle ou de mort civile. Les milliers d'années antérieures à 1942 et le demisiècle postérieur à 1944 peuvent, du moins en principe, recevoir toutes les interprétations qu'on voudra, tandis que l'histoire des seules années 1942-1943-1944 est placée sous la haute surveillance des autorités religieuses, politiques, judiciaires et médiatiques de ce pays. Ainsi le veut l'impudente loi Fabius-Gayssot. ...
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Nous vivons une seconde Épuration. En France, tandis que le « collabo » se trouve à nouveau pourchassé, toute velléité de résistance aux idées en cours sur « les droits de l'homme » et « la Mémoire » (sélective) est dénoncée par les médias et les ligues, condamnée par des lois spéciales et durement sanctionnée par les juges. La police de la pensée est à la fête. Sa cible d'élection : le révisionnisme historique. En 1986, Pierre Vidal-Naquet, Serge Klarsfeld et François Bédarida, réunis autour du grand rabbin René-Samuel Sirat, préconisent une loi spéciale contre le révisionnisme. Ce sera, en 1990, la loi Fabius-Gayssot. Depuis la publication de cette loi, aucun chercheur, aucun historien, aucun savant ne peut plus contester le jugement de Nuremberg. Ce qu'en 1946 les juges de Nuremberg, au terme d'une mascarade judiciaire, avaient énoncé - sans le prouver - sur la « politique d'extermination des Juifs », sur les « chambres à gaz » homicides et sur les « six millions » est soudain devenu en 1990 une vérité historique définitivement intouchable ! Peine perdue. En France comme à l'étranger, le révisionnisme se développe. Certains pensent qu'il faut persister à censurer, châtier, réprimer. D'autres estiment qu'il faut servir le droit, la liberté, ainsi qu'une mémoire non sélective. Pour ces derniers, la France doit en finir avec les horreurs de l'Épuration, les mensonges de Nuremberg et l'esprit de guerre civile. Le dogme légal né de la loi Fabius-Gayssot constitue une impudente innovation où s'annonce peut-être le crépuscule du droit. Éric Delcroix est né en Normandie en 1944. Avocat au barreau de Paris, il s'est acquis une notoriété dans l'étude des infractions de presse. Ses courageuses prises de position en faveur de la liberté d'expression l'ont amené à devenir le conseil d'un certain nombre d'organes de presse et à présenter, devant les tribunaux, dans des conditions parfois périlleuses, la défense de nombreux révisionnistes, à commencer, dès 1979, par celle du professeur Faurisson. INTRODUCTION. Pour bien des esprits, dont certains sont à courte vue mais qui, pour la plupart, souffrent de la sidération ambiante, la liberté d'expression ne serait guère en danger dans les pays occidentaux. Ces pays jouiraient d'une forme de civilisation qui les mettrait à l'abri des passions surannées et des égarements imputables à la superstition religieuse. En réalité, il n'y a là qu'illusion. Les belles âmes qui réclament la liberté d'expression pour Salman Rushdie ou pour Madame Nasrin sont celles qui, réunies en meute impitoyable, obtiennent la proscription du professeur Faurisson ou de Bernard Notin et, plus généralement, des révisionnistes, vrais ou supposés. Que l'on ne s'y méprenne pas ! Ce qui est ici en jeu n'est pas tant la liberté d'expression, réduite aux droits des individus, que la liberté d'accès, pour un citoyen adulte, à toute information, sans qu'un censeur soit autorisé à passer au crible la masse des informations et à en faire un tri « ad usum Delphini ». Dans les conditions actuelles, c'est-à-dire en présence d'esprits sidérés par les mécanismes de l'ahurissement audiovisuel, cette question est essentielle ; elle l'est d'autant plus que tous les grands médias occidentaux dépendent de l'omnipotence du « gros argent » et relèvent nécessairement d'une logique ploutocratique. Si l'on ne peut plus accéder librement aux écrits révisionnistes, qui nous garantit que d'autres censures ne sont pas - ou ne seront pas - opérées sur d'autres sujets essentiels et même vitaux (dans le domaine du nucléaire, de l'environnement, de la biologie,) ? En accord avec tous les historiens, les auteurs révisionnistes admettent que, durant la seconde guerre mondiale, les Juifs européens ont connu, en grand nombre, la persécution et, parfois, l'internement ou la déportation. Ils reconnaissent l'existence des camps de transit, de travail ou de concentration. Dans certains de ces camps, les Allemands utilisaient des chambres à gaz de désinfection et des fours crématoires. Les Juifs, disent-ils, ont pu souffrir des conditions parfois affreuses des ghettos et des camps. Le travail forcé, la faim, la soif, la chaleur, le froid, la promiscuité et surtout les épidémies, notamment celles de typhus ou de fièvre typhoïde, opéraient leurs ravages. Il ne fait aucun doute que les Juifs européens ont vécu là une tragédie. Mais le reste de l'Europe et l'Asie, on l'oublie volontiers, souffraient également. D'autres communautés que la communauté juive ont durement pâti de la guerre. Et, pour ce qui est des horreurs en tout genre, y compris les déportations, les Alliés en ont perpétré de gigantesques pendant et après la guerre. Ce que les auteurs révisionnistes contestent au terme de recherches approfondies, c'est que l'Allemagne aurait accumulé plus de crimes (et en quantité et en qualité) que ses vainqueurs. Ces derniers n'ont gagné la guerre que parce qu'ils ont, proportionnellement, plus tué que les vaincus, non sans avoir visé tout spécialement les populations civiles (c'est d'ailleurs à cette fin que les Anglo-Saxons avaient inventé les forteresses volantes, bombardiers conçus pour la destruction des villes). Les révisionnistes contestent que l'Allemagne ait eu une politique d'extermination physique des Juifs. Ils contestent l'existence et le fonctionnement de chambres à gaz homicides, véritables abattoirs chimiques qui auraient constitué l'arme spécifique du crime spécifique. Ils contestent enfin le chiffre de six millions de morts juives. En France, ces trois contestations-là sont devenues interdites sous peine de prison et d'amende depuis la publication de la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990. Dans les pages qui suivent je m'efforcerai de montrer que cette loi constitue une monstruosité dans son fondement, dans sa rédaction et dans son application. Je montrerai que des recours sont possibles notamment auprès de la Cour européenne des droits de l'homme et que l'on se trouve dans un cas où les révisionnistes pourraient invoquer le droit de « résistance à l'oppression ». Une nouvelle loi antirévisionniste est en préparation : la loi Korman-Gaubert (né Goldenberg). Elle prévoit contre les révisionnistes une peine de deux ans de prison, une amende de 500 000 francs et d'autres sanctions encore. De telles lois, si étranges, pour certains, à l'aube de l'an 2000, sont intéressantes à étudier. A l'historien, au sociologue, à l'homme politique mais aussi au magistrat, à l'avocat, à l'universitaire et au citoyen elles apportent, sur le fonctionnement de notre société et sur les droits des personnes, bien plus d'informations que ne sauraient le faire les grands médias, tous plus soucieux les uns que les autres de nous masquer les vrais interdits et les vrais tabous de notre temps. Des milliards d'événements qui constituent la trame de l'histoire des hommes peuvent être librement interprétés au gré de chacun. Un seul de ces événements - l'« Holocauste » des Juifs en chambres à gaz entre 1942 et 1944 - est décrété intouchable sous peine d'amende, de prison et aussi, parfois, d'interdiction professionnelle ou de mort civile. Les milliers d'années antérieures à 1942 et le demisiècle postérieur à 1944 peuvent, du moins en principe, recevoir toutes les interprétations qu'on voudra, tandis que l'histoire des seules années 1942-1943-1944 est placée sous la haute surveillance des autorités religieuses, politiques, judiciaires et médiatiques de ce pays. Ainsi le veut l'impudente loi Fabius-Gayssot. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Reynouard Vincent - Des témoins de l'holocauste sans aucune valeur
Depuis quelques années, de multiples « survivants » des camps de concentration allemands apparaissent pour raconter leur histoire : Charlotte Shapira, Denis Holstein, Jo Wajblatt etc. Ces individus écrivent des livres, participent à des émissions, interviennent dans les établissements scolaires. Ils prétendent raconter ce que fut la « barbarie nazie »... Quelle est leur valeur ? Sont-ils autant de « témoins de l'Holocauste ? Sont-ils, comme on veut nous le faire croire, autant de « preuves vivantes » de la Shoah ? Dans cette brochure, vous découvrirez pourquoi il faut répondre : non. ...
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La contre-religion de l' "holocauste" Un poison pour l'Europe
L'hystérie qui précéda le 27 janvier 2005. Un livre qui pouvait rassurer. Six jours avant les commémorations officielles du soixantième anniversaire de la libération d’Auschwitz, Libération constatait : « l'anniversaire de la libération d'Auschuitz, le 27 janvier 1945, n'a jamais été autant commémorée ». Dans son éditorial, Gérard Dupuy confirmait et prévenait: Le soixantième anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz sera célébré avec plus de solennité et par plus d'initiatives que ne l'avait été le cinquantième, en particulier sur les chaines de télévision françaises. ...
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Reynouard Vincent - Holocauste Les alliés savaient qu'aucun massacre de masse n'était perpétré à l'Est
D'après la thèse officielle, dès 1942, les Alliés auraient su que les Allemands exterminaient les juifs dans un camp comme Auschwitz. S'ils n'ont rien dit et rien fait, en particulier s'ils n'ont pas bombardé les crématoires, c'est pour des raisons diverses et parfois peu avouables. Dans cette brochure, V. Reynouard s'inscrit en faux contre cette thèse mensongère. Certes, il est indéniable que dès 1942, les Alliés ont reçu de nombreux rapports qui parlaient de massacres de masse. Mais ces rapports émanaient de sources juives. Or V. Reynouard le démontre nettement - ces sources n'étaient absolument pas fiables : depuis des années des propagandistes juifs spécialistes de l'agitation prétendaient qu'on les exterminait en Ukraine, en Pologne, en Allemagne... Pour cela, ils avaient recours aux méthodes les plus malhonnêtes (photos utilisées abusivement, estimations délirantes...). Les rapports reçus à partir de 1942 étaient de la même veine : on y trouvait les mêmes récits absurdes, contradictoires et controuvés. En revanche, les sources d'informations plus fiables (services de renseignement, rapports d'analyse de photographies aériennes...) ne parlaient nullement d'une extermination. Or, connaissant tous les bruits qui couraient à l'époque, il est impossible de croire que les Alliés n'aient pas vérifié avec le matériel qu'ils possédaient. La conclusion de ce travail s'impose : pendant toute la guerre, les Alliés ont su... qu'aucun « génocide » ne se perpétrait à l'Est. ...
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Depuis quelques années, de multiples « survivants » des camps de concentration allemands apparaissent pour raconter leur histoire : Charlotte Shapira, Denis Holstein, Jo Wajblatt etc. Ces individus écrivent des livres, participent à des émissions, interviennent dans les établissements scolaires. Ils prétendent raconter ce que fut la « barbarie nazie »... Quelle est leur valeur ? Sont-ils autant de « témoins de l'Holocauste ? Sont-ils, comme on veut nous le faire croire, autant de « preuves vivantes » de la Shoah ? Dans cette brochure, vous découvrirez pourquoi il faut répondre : non. ...
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La contre-religion de l' "holocauste" Un poison pour l'Europe
L'hystérie qui précéda le 27 janvier 2005. Un livre qui pouvait rassurer. Six jours avant les commémorations officielles du soixantième anniversaire de la libération d’Auschwitz, Libération constatait : « l'anniversaire de la libération d'Auschuitz, le 27 janvier 1945, n'a jamais été autant commémorée ». Dans son éditorial, Gérard Dupuy confirmait et prévenait: Le soixantième anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz sera célébré avec plus de solennité et par plus d'initiatives que ne l'avait été le cinquantième, en particulier sur les chaines de télévision françaises. ...
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Reynouard Vincent - Holocauste Les alliés savaient qu'aucun massacre de masse n'était perpétré à l'Est
D'après la thèse officielle, dès 1942, les Alliés auraient su que les Allemands exterminaient les juifs dans un camp comme Auschwitz. S'ils n'ont rien dit et rien fait, en particulier s'ils n'ont pas bombardé les crématoires, c'est pour des raisons diverses et parfois peu avouables. Dans cette brochure, V. Reynouard s'inscrit en faux contre cette thèse mensongère. Certes, il est indéniable que dès 1942, les Alliés ont reçu de nombreux rapports qui parlaient de massacres de masse. Mais ces rapports émanaient de sources juives. Or V. Reynouard le démontre nettement - ces sources n'étaient absolument pas fiables : depuis des années des propagandistes juifs spécialistes de l'agitation prétendaient qu'on les exterminait en Ukraine, en Pologne, en Allemagne... Pour cela, ils avaient recours aux méthodes les plus malhonnêtes (photos utilisées abusivement, estimations délirantes...). Les rapports reçus à partir de 1942 étaient de la même veine : on y trouvait les mêmes récits absurdes, contradictoires et controuvés. En revanche, les sources d'informations plus fiables (services de renseignement, rapports d'analyse de photographies aériennes...) ne parlaient nullement d'une extermination. Or, connaissant tous les bruits qui couraient à l'époque, il est impossible de croire que les Alliés n'aient pas vérifié avec le matériel qu'ils possédaient. La conclusion de ce travail s'impose : pendant toute la guerre, les Alliés ont su... qu'aucun « génocide » ne se perpétrait à l'Est. ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Reynouard Vincent - Le ghetto de Varsovie
Succès éditorial et cinématogrphique, Le Pianiste reste encore de nos jours une référence sur le ghetto de Varsovie. Le récit de W. Szpilman mis en scène par Roman Polanski a ému la planète entière et l'a confortée dans sa croyance en l'Holocauste. Or, une lecture attentive de ce témoignage démontre que loin d'apporter les preuves décisives, l'auteur apporte au contraire de l'eau au moulin des révisionnistes. Certains aspects de sa description du ghetto sont vraiment inattendus. Dans cette étude, Vincent Reynouard souligne ces aspects trop oubliés et passés sous silence par R. Polanski. A lire impérativement pour contrer la propagande officielle... ...
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Reynouard Vincent - Mensonges et omissions révélatrices des livres éducatifs sur l' "holocauste"
Cet article est la dernière partie d'une étude plus longue sur les mensonges relevés dans un échantillon de livres destinés aux adolescents et traitant de l'histoire de la seconde guerre mondiale. Les premières parties sont parues sous forme de vidéos diffusées sur la chaine Youtube « SansConcessionTV ». ...
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Succès éditorial et cinématogrphique, Le Pianiste reste encore de nos jours une référence sur le ghetto de Varsovie. Le récit de W. Szpilman mis en scène par Roman Polanski a ému la planète entière et l'a confortée dans sa croyance en l'Holocauste. Or, une lecture attentive de ce témoignage démontre que loin d'apporter les preuves décisives, l'auteur apporte au contraire de l'eau au moulin des révisionnistes. Certains aspects de sa description du ghetto sont vraiment inattendus. Dans cette étude, Vincent Reynouard souligne ces aspects trop oubliés et passés sous silence par R. Polanski. A lire impérativement pour contrer la propagande officielle... ...
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Reynouard Vincent - Mensonges et omissions révélatrices des livres éducatifs sur l' "holocauste"
Cet article est la dernière partie d'une étude plus longue sur les mensonges relevés dans un échantillon de livres destinés aux adolescents et traitant de l'histoire de la seconde guerre mondiale. Les premières parties sont parues sous forme de vidéos diffusées sur la chaine Youtube « SansConcessionTV ». ...
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Re: Le canular de l'Holocauste dévoilé
Faurisson Robert - Le révisionnisme de Pie XII
Favorable aux Alliés et secourable aux juifs, Pie XII était aussi révisionniste. C’est précisément son scepticisme de révisionniste, et non pas une quelconque ignorance des faits, qui explique son silence sur la prétendue extermination physique des juifs, sur les prétendues chambres à gaz nazies et sur les prétendues six millions de victimes juives de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’Holocauste » ou « la Shoah ». Favorable aux Alliés, il est allé jusqu’à se faire, en 1940, l’intermédiaire entre, d’une part, des opposants du régime de Hitler et, d’autre part, la France et la Grande-Bretagne. Mieux : en 1941, ayant à choisir entre Hitler et Staline, il a décidé, à la demande de Roosevelt, de choisir Staline. Pourtant « Uncle Joe » incarnait ce communisme que, quatre ans auparavant, une encyclique avait stigmatisé comme étant « intrinsèquement pervers ». Aussi l’armée allemande allaitelle voir ses propres soldats, souvent catholiques, et des aumôniers de la Wehrmacht se faire tuer à l’Est par des armes américaines fournies aux communistes avec la secrète bénédiction du Pape. Les Allemands rouvraient les églises fermées par les Soviétiques mais, plus tard, au procès de Nuremberg, ils se verront accuser – notamment par un procureur soviétique – de persécution religieuse. Au Vatican nul ne protestera contre la criminelle mascarade judiciaire de Nuremberg. ...
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Favorable aux Alliés et secourable aux juifs, Pie XII était aussi révisionniste. C’est précisément son scepticisme de révisionniste, et non pas une quelconque ignorance des faits, qui explique son silence sur la prétendue extermination physique des juifs, sur les prétendues chambres à gaz nazies et sur les prétendues six millions de victimes juives de ce qu’on appelle aujourd’hui « l’Holocauste » ou « la Shoah ». Favorable aux Alliés, il est allé jusqu’à se faire, en 1940, l’intermédiaire entre, d’une part, des opposants du régime de Hitler et, d’autre part, la France et la Grande-Bretagne. Mieux : en 1941, ayant à choisir entre Hitler et Staline, il a décidé, à la demande de Roosevelt, de choisir Staline. Pourtant « Uncle Joe » incarnait ce communisme que, quatre ans auparavant, une encyclique avait stigmatisé comme étant « intrinsèquement pervers ». Aussi l’armée allemande allaitelle voir ses propres soldats, souvent catholiques, et des aumôniers de la Wehrmacht se faire tuer à l’Est par des armes américaines fournies aux communistes avec la secrète bénédiction du Pape. Les Allemands rouvraient les églises fermées par les Soviétiques mais, plus tard, au procès de Nuremberg, ils se verront accuser – notamment par un procureur soviétique – de persécution religieuse. Au Vatican nul ne protestera contre la criminelle mascarade judiciaire de Nuremberg. ...
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