150.000 lectures différentes de la bible !!!!!
Page 1 sur 1
150.000 lectures différentes de la bible !!!!!
biog:
Who Wrote the Bible? by Washington Gladden
la Bible comme un livre parmi les livres, des éléments humains qui entrent dans sa composition, un compte a été donné dans les précédentes chapitres. Mais dans ces études l'histoire entière de la Bible n'a pas été dit. Il y a le besoin, donc, que nous devrions élargir notre vue un peu et prenez plus directement en considération de certains éléments avecque nous n'avons pas jusqu'à présent été principalement concernés.
Notre étude a, effectivement, fait comprendre clairement quelques choses. Parmi eux est la certitude que la Bible n'est pas un Livre infaillible, dans le sens dans lequel il doit généralement être infaillible. Quand nous étudions l'histoire de plusieurs livres, l'histoire du canon, l'histoire de la distribution et de la reproduction des copies de manuscrit et de l'histoire des versions, - quand nous découvrons que les "lectures différentes" des manuscrits différant s'élèvent à cent cinquante mille, l'impossibilité de maintenir inerrancy verbale de la Bible devient évident. Nous voyons comment l'ignorance humaine et l'erreur ont été subis ..si notre assurance de salut a été faite pour dépendre de notre connaissance que chaque mot de la Bible était d'origine divine, nos espoirs de vie éternelle seraient entièrement incertains.
Le livre n'est pas infaillible historiquement. C'est un dossier véridique; nous pouvons dépendre de la véracité du contour qu'il nous donne de l'histoire du peuple juif; mais les contradictions et les contradictions qui apparaissent ici et là sur ses pages montrent que ses auteurs n'ont pas été miraculeusement protégés des fautes dans les dates et les nombres et l'ordre d'événements.
C'est assez faillible scientifiquement. il ne faut pas essayer de forcer l'histoire de Genèse dans une correspondance exacte avec la science géologique. C'est un hymne de création, admirablement belle et pure; les vérités centrales de religion monothéiste et de la science moderne sontimpliqué dans cela; mais il n'est pas eu l'intention nous donner l'histoire scientifique de création et de l'essai de le faire porter cette construction est extrêmement peu judicieux.
C'est assez faillible moralement. Par cela je veux dire que les portions de cette révélation impliquent une moralité incomplète. Beaucoup de choses sont ici commandées qu'il aurait tort pour nous de faire. ....;
la suite
Re: 150.000 lectures différentes de la bible !!!!!
notez bien :Washington Gladden est un érudit DE TEMOINS DE JEHOVAH
2-
le courage de témoins de jéhovah: LA BIBLE EST CORROMPU /-DE LEUR PROPRE SITE:
LA critique des textes bibliques et l'exégèse contemporaine, au départ contrôlée par l'Eglise et aujourd'hui libérée de tout carcan religieux [3], ont depuis longtemps abandonné cette position naïve que les textes étaient authentiques et identifiables à des auteurs bien défini. Pour le seul exemple de la Torah ou (Pentateuque) attribuée pendant des siècles à Moïse, l'examen des textes a démontré la présence de différentes sources de rédaction et de plusieurs rédacteurs [4]. De plus, de nombreux livres ont été modifiés au cours des siècles par plusieurs mains (loll) (c'est le cas du livre de Daniel qui possède au moins trois auteurs dans trois langues différentes : hébreu, araméen, grec ou du livre d'Isaïe comportant deux rédactions à des dates différentes) ou ne possèdant pas d'auteur clairement identifiable mais qui furent attribués ultérieurement par la tradition.[5]
..
Aujourd'hui, les spécialistes s'accordent à dire qu'il est impossible de reconstituer le texte original avec certitude car de nombreuses variantes existent et aucune ne prédomine.[9]
http://www.tj-encyclopedie.org/Historicit%E9_de_la_Bible
http://alturl.com/6x85
http://www.tj-encyclopedie.org/Historicité_de_la_Bible
2-
le courage de témoins de jéhovah: LA BIBLE EST CORROMPU /-DE LEUR PROPRE SITE:
LA critique des textes bibliques et l'exégèse contemporaine, au départ contrôlée par l'Eglise et aujourd'hui libérée de tout carcan religieux [3], ont depuis longtemps abandonné cette position naïve que les textes étaient authentiques et identifiables à des auteurs bien défini. Pour le seul exemple de la Torah ou (Pentateuque) attribuée pendant des siècles à Moïse, l'examen des textes a démontré la présence de différentes sources de rédaction et de plusieurs rédacteurs [4]. De plus, de nombreux livres ont été modifiés au cours des siècles par plusieurs mains (loll) (c'est le cas du livre de Daniel qui possède au moins trois auteurs dans trois langues différentes : hébreu, araméen, grec ou du livre d'Isaïe comportant deux rédactions à des dates différentes) ou ne possèdant pas d'auteur clairement identifiable mais qui furent attribués ultérieurement par la tradition.[5]
..
Aujourd'hui, les spécialistes s'accordent à dire qu'il est impossible de reconstituer le texte original avec certitude car de nombreuses variantes existent et aucune ne prédomine.[9]
http://www.tj-encyclopedie.org/Historicit%E9_de_la_Bible
http://alturl.com/6x85
http://www.tj-encyclopedie.org/Historicité_de_la_Bible
encyclopedie catholique avoue :
Citation: |
Transmission of the text |
No book of ancient times has come down to us exactly as it left the hands of its author--all have been in some way altered. The material conditions under which a book was spread before the invention of printing (1440), the little care of the copyists, correctors, and glossators for the text, so different from the desire of accuracy exhibited today, explain sufficiently the divergences we find between various manuscripts of the same work http://www.newadvent.org/cathen/14530a.htm |
TRANSMISSION DE TEXTE :
Aucun livre de temps anciens nous est ramené exactement comme il a laissé les mains de son auteur--tout ont été changés d'une certaine façon. Les conditions matérielles sous lesquelles un livre s'est été étendu avant l'invention d'imprimer ie(1440), peu de soin des copistes, correcteurs, et glossators pour le texte, si différent du désir d'exactitude a exposé aujourd'hui, explique suffisamment les divergences que nous trouvons entre plusieurs manuscrits du même travail.
http://www.newadvent.org/cathen/14530a.htm
bah vous voulez autres preuves ou plutot VOS PRORES SOURCES ,,?? (loll) -PAS questions de vous citer témoignages des chercheurs et théoligiens -
-*-
autre surprise meme les juifs témoignnent de la corruption de la bible:
Source JUIVE/
JE quote
Sir William Whiston dans sa deuxième lettre à l'évêque de Londres, 1719, sur page 15 dit:
“” Nous savons certainement d'un plus grand nombre d'interpolations et corruptions apporté dans les Saintes Ecritures par les Athanasians, et concernant la Doctrine de la Trinité, que dans tout autre cas quoi que. Pendant que nous n'avons pas, que je sais de, toute telle interpolation ou corruption faite dans n'importe lequel d'entre eux par l'Eusebians ou par les aryens.
http://www.israelofgod.org/Constantine.htm
nb/ c est la source juive et vous pouvez demander a n importe quelle juif de ce qu il pense des verset qui parelnt de résuurection de jésus : il vous DIRA MENSONGE JAMAIS JESUS N A RESSUCITE = LA BIBLE EST FALSIFIE (loll)
Re: 150.000 lectures différentes de la bible !!!!!
*les 1érs chrétiens accusent les juifs de falsifier l ancien testatemnt !!!
SOURCE CHRETIENNE:
Cédant à une logique imperturbable, Marcion établit une distinction absolue entre la loi et la grâce. La loi, c’est la Bible des Juifs que nous appelons l’ancien Testament. C’est la circoncision, le sabbat et autres prescriptions rituelles que les judaïsants veulent imposer aux chrétiens. C’est la loi du talion, la justice vindicative prêchée par Moïse. Ce sont aussi les ordres que Yahvé donne lui-même à son peuple en le poussant à massacrer sans pitié tous ses ennemis dans les guerres de conquête.Tandis que la grâce, “le fruit de l’Esprit c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la douceur” (Gal. 5:22) Conclusion : Le Dieu des Juifs est un autre Dieu que celui de Jésus. l’Ancien Testament est périmé.
Or Marcion se heurte à des textes qui contredisent son système. Le texte que nous venons de citer et qui prône l’amour se termine par ces mots : “La Loi n’est pas contre ces choses”. Qu’à cela ne tienne, Marcion va expurger tous les textes qui le contrarient, les qualifiant de falsifications et d’interpolations. L’épître aux Galates lui servira de justification. En effet, Paul y parle de “faux frères qui se sont furtivement glissés parmi nous pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, avec l’intention de nous asservir” (Gal. 2:4) “Puissent-ils être retranchés ceux qui mettent le trouble parmi vous” (Gal. 5:17). Ces faux frères sont évidemment des judaïsants qui veulent remettre les chrétiens sous le joug des lois mosaïques. Marcion accuse ces judaïsants de falsifier les Ecritures.
http://www.evangile-et-liberte.net/elements/archives/108.html
---
la je vais mettre une pause, Marcion a été traité de hérétique ET ses adeptes ont été torturé par les chrétiens pour simple raison : POUR LUI dieu d AT n est pas celui de NT , car selon lui le dieu d ancien testatement est SANGUINAIRE TUEUR DE BEBES ECT....et il ne peut etre jésus...l
malgrés les 150.000 variante de texte biblique on vous dira qu ils n avaient aucun impact .. MENSONGE ======) il y a des Bibles différentes selon les confessions chrétiennes : les catholiques n'ont pas exactement la même Bible que les protestants, par exemple. Certains mouvements religieux comme les Mormons ou les témoins de Jéhova ont encore d'autres versions de la Bible, qui ajoutent, dans certains cas (celui des Mormons, notamment), des passages complètement nouveaux - et qui sont d'ailleurs contestés par les Eglises à cause de cela.SOURCE CHRETIENNE:
Cédant à une logique imperturbable, Marcion établit une distinction absolue entre la loi et la grâce. La loi, c’est la Bible des Juifs que nous appelons l’ancien Testament. C’est la circoncision, le sabbat et autres prescriptions rituelles que les judaïsants veulent imposer aux chrétiens. C’est la loi du talion, la justice vindicative prêchée par Moïse. Ce sont aussi les ordres que Yahvé donne lui-même à son peuple en le poussant à massacrer sans pitié tous ses ennemis dans les guerres de conquête.Tandis que la grâce, “le fruit de l’Esprit c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la douceur” (Gal. 5:22) Conclusion : Le Dieu des Juifs est un autre Dieu que celui de Jésus. l’Ancien Testament est périmé.
Or Marcion se heurte à des textes qui contredisent son système. Le texte que nous venons de citer et qui prône l’amour se termine par ces mots : “La Loi n’est pas contre ces choses”. Qu’à cela ne tienne, Marcion va expurger tous les textes qui le contrarient, les qualifiant de falsifications et d’interpolations. L’épître aux Galates lui servira de justification. En effet, Paul y parle de “faux frères qui se sont furtivement glissés parmi nous pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, avec l’intention de nous asservir” (Gal. 2:4) “Puissent-ils être retranchés ceux qui mettent le trouble parmi vous” (Gal. 5:17). Ces faux frères sont évidemment des judaïsants qui veulent remettre les chrétiens sous le joug des lois mosaïques. Marcion accuse ces judaïsants de falsifier les Ecritures.
http://www.evangile-et-liberte.net/elements/archives/108.html
---
la je vais mettre une pause, Marcion a été traité de hérétique ET ses adeptes ont été torturé par les chrétiens pour simple raison : POUR LUI dieu d AT n est pas celui de NT , car selon lui le dieu d ancien testatement est SANGUINAIRE TUEUR DE BEBES ECT....et il ne peut etre jésus...l
et la prochaine fois on va étudier quelques exmples de ces 150.000 variantes
cherche au net que disent les sources catholiques et protestantes sur la dite "traduction" de TJ , mais si vous le damnder au Tj ils vous diront notre traducion l a été sur la telle variante QUI NOUS A PARRU la plus proche a l original ( qui n exsite pas bien sur)
]1. Ces variantes ne concernent qu’une partie limitée des textes : 98,3% du texte est indemne de variante.
Actuellement, on dispose d'un texte grec sûr à plus de 99 %. Pour les quelques endroits où on n'est pas sûr du texte, cela ne remet jamais en cause une doctrine essentielle. Entre les manuscrits les plus divergents, il y a accord sur 97 % du texte. Pour le Nouveau Testament, 98,3 % du texte est indemne de variante.
Source : http://www.info-bible.org/histoire/manuscrits.htm
"Les variantes du texte biblique
Lorsque deux copies du texte de la Bible comportent des différences, on est obligé de se demander laquelle correspond à l'original. Très souvent, l'accord de la grande majorité des manuscrits sur une version du texte permet d'éliminer toute hésitation. Ici et là cependant, il reste des variantes entre lesquelles il faut choisir. C'est ce qui explique que certaines éditions du Nouveau Testament comportent des notes en bas de page disant. " D'autres études (ou d'autres témoins) lisent... " ou simplement. " Variante :... ".
La plupart de ces variantes portent sur des points de détails. Il s'agit parfois de noms propres inconnus des copistes ; par exemple : Marc 5:1. Les meilleurs manuscrits ont. " le pays des Géraséniens " ; mais d'autres lisent. " des Gadaréniens " ou des " Gergéséniens ".
Ailleurs, c'est peut-être une seule lettre qui change d'un manuscrit 'a l'autre, mais cela peut suffire à modifier un mot ou changer le temps d'un verbe. Exemple : Romains 5 :1, on peut lire " nous avons la paix avec Dieu " ou " ayons la paix avec Dieu ".
Dans certains cas, un ou plusieurs mots qui se trouvent dans plusieurs manuscrits n'apparaissent pas dans d'autres. Ainsi, dans Ephésiens 1 :1, les " à Ephèse " manquent dans certains manuscrits.
Ce peut-être une phrase entière ou même un passage entier qui ne se trouve que dans une partie des manuscrits Exemples. Luc 9:55-56, les mots venant après "et les réprimanda ", de " disant : Vous ne savez de quel esprit... " jusqu'à "...mais pour les sauver ", ne se trouvent pas dans la plupart des manuscrits anciens. La fin de l'Evangile de Marc (16:9 à 20) manque dans les deux plus anciens manuscrits (Vaticanus et Sinaïticus) (loll) et chez certains auteurs anciens, mais se trouve dans d'autres manuscrits de valeur et chez d'autres auteurs qui citent ce passage. Quelques manuscrits (surtout des traductions) ont encore une autre fin plus courte à l'Evangile de Marc.
De telles variantes peuvent étonner et même inquiéter certains chrétiens. Mais elles existent. Il vaut mieux le savoir. ""
http://www.lueur.org/textes/transmission-bible.html
-*
.dans les 150.000 il ya de rajouts et des supressions et le lein que je vous ai donné a doné quelque exemple et autres suiveront ... ET EN PLUS DE CELA IL N EXISTE PAS LE MANUSCRIT ORIGINAL c ad on ne sait meme pas si les manuscrits comprés sont TOTALEMENT DIFFERENTS A L ORIGINAL QUI N EXISTE PAS ,:Le souci de retrouver le texte original de la Bible n'est pas nouveau
" Pendant longtemps on a cherché à retrouver le texte d'origine. Plus modestement, aujourd'hui, la visée de la critique textuelle est appelée à se déplacer. Il n'est plus question de vouloir retrouver parmi les variantes des manuscrits, quel est ''le'' bon texte, le texte originel unique. Ni même de vouloir établir les parentés et les filiations des manuscrits en dressant leur arbre généalogique, leur stemma, qui indiquerait finalement quel serait l'ancêtre dont tous proviendraient. Au contraire, la visée du textualiste va mettre en évidence un certain pluralisme textuel : l'existence de plusieurs ancêtres dès l'origine, dont les descendants conservent et transmettent jusqu'à nous une grande richesse de traditions historiques et théologiques. '' (Cahiers Évangile n° 102, 1998 p. 6)"
http://www.bible-service.net/site/358.html
Re: 150.000 lectures différentes de la bible !!!!!
a-
kurt Aland AND barbara Aland: the text of the new testament
page 29
donc les évangiles nous donnent:
Kurt Aland et Barbara Aland dans leur livre "The Text Of The New Testament " présentent une table qui compare le nombre total de différents versets dans l'édition Nestle-Aland avec les autres éditions critiques comme celui de Tischendorf, Westcott-Hort, von Soden, Vogels, Merk et Bover. Cette comparaison ne tient pas compte des
différences orthographiques dans les différents vesrsetsLa proportion varie de 45.1 % en Mark à 81.4 % dans 2 Timoth. ce-dessous de la table donne l'accord des versets dans les quatre Evangiles :
kurt Aland AND barbara Aland: the text of the new testament
page 29
donc les évangiles nous donnent:
Kurt Aland et Barbara Aland dans leur livre "The Text Of The New Testament " présentent une table qui compare le nombre total de différents versets dans l'édition Nestle-Aland avec les autres éditions critiques comme celui de Tischendorf, Westcott-Hort, von Soden, Vogels, Merk et Bover. Cette comparaison ne tient pas compte des
différences orthographiques dans les différents vesrsetsLa proportion varie de 45.1 % en Mark à 81.4 % dans 2 Timoth. ce-dessous de la table donne l'accord des versets dans les quatre Evangiles :
-NOTEZ BIEN : ces varianates n évoquent pas NI les fautes d orthos NI des longues passages inexistantes:
est ce c est FINI non ,non seulement le 150.000 varianates entre manuscrits
mais aussi L ORIGINAL N EXISTE PAS cad ces varaintes trouvés sont seulement sur les manuscrits sans existence de texte original ..est ce c est fsini non pour certains érudits les variantes sont de 250.000( deux cents cinquantes milles variantes)
léon vagany and christian-bernard Amphoux : An introudction to new testament textuel criticismest ce c est FINI non ,non seulement le 150.000 varianates entre manuscrits
mais aussi L ORIGINAL N EXISTE PAS cad ces varaintes trouvés sont seulement sur les manuscrits sans existence de texte original ..est ce c est fsini non pour certains érudits les variantes sont de 250.000( deux cents cinquantes milles variantes)
page22
Ce qui constitue un handicap pour le Nouveau Testament que la critique textuelle est
le nombre vaste de témoins et de l'énorme nombre de variantes Il y a plus de 5,000 manuscrits grecs ou fragments de copies en comptant le lectionaries. Et ce n'est nulle part près du nombre des manuscrits des versions (c'est-à-dire les traductions dans des langues étrangers ), sans parler des citations dans les écritures de pères de l'Eglise(des millions) qui aident à faire la somme totale de témoins. C'étant le cas, il n'est pas dur d'imaginer combien des milliers de variantes là doivent être. Certains disent 150,000, d'autres dites plus près 250,000, mais le nombre exact n'est pas vraiment important. Le fait est qu'il serait difficile de trouver une sentence, même la partie d'une sentence,pour lequel l'interprétation est conséquente dans chaque sample manuscrit simple
Re: 150.000 lectures différentes de la bible !!!!!
24.3.2.2 Les Variantes
Dans toute copie, nous l'avons déjà dit (voir Fragment I), les erreurs sont inévitables. Avec le nombre des copies, elles augmentent fatalement. Si déjà Origène se plaignait amèrement de l'état des manuscrits de son temps, on comprend qu'à plus forte raison, au seizième siècle, on fût loin de se trouver en présence d'un texte uniforme du Nouveau Testament (*).
(*) «Il en est un peu des copies successives d'un texte, dit M. Rilliet, dans la préface de sa traduction du Nouveau Testament, comme du cours d'un ruisseau. La forme première de la parole écrite se modifie bien plus par voie d'accroissement et d'agrégation, que par voie de condensation et de retranchement. Dans la multiplication graphique, les éléments adventices sont bien plus nombreux que les éléments supprimés. Rendre plus clair ce qui est grammaticalement obscur, corriger ce que l'on croit inexact ou erroné, substituer ce qui semble naturel à ce qui paraît étrange, éclaicir les contradictions réelles ou apparentes, introduire la glose à côté ou à la place du mot qu'elle explique, compléter ce que l'on trouve insuffisant, enrichir les récits en y insérant les détails analogues tirés d'ailleurs et que l'on veut sauver de l'oubli, conformer l'une à l'autre les narrations diverses d'un même fait, ou les formules d'un même enseignement : voilà quelques-uns des traits du travail auquel les copistes-correcteurs se livrent généralement, ainsi que l'expérience le démontre, dans la reproduction des textes. Quant aux omissions, elles ont le plus souvent lieu par inadvertance, et elles proviennent ordinairement de l'identité des mots entre lesquels se trouve placée la phrase ou l'expression omise. Les suppressions intentionnelles sont presque toujours dictées par le désir de faire disparaître des difficultés ou des contradictions qui sont embarrassantes ou qui paraissent insolubles. Enfin, des altérations plus ou moins graves sont dues à la négligence ou à l'ignorance des copistes, dont les uns voient ou entendent mal, dont les autres, ne comprenant pas ce qu'ils transcrivent, dénaturent le texte ou estropient la langue.
«Les divergences qu'offrent les manuscrits du Nouveau Testament dérivent toutes des causes que nous venons d'indiquer, et que signalent déjà les Origène et les Jérôme. Le texte sacré a été fréquemment transcrit avec inadvertance ou incurie; mais il a été aussi intentionnellement corrigé, élucidé, complété, en sorte que ce sont souvent les variantes qui paraissent au premier coup d'oeil les plus naturelles et le mieux à leur place, qui ont le moins de chances d'appartenir au texte primitif. Ainsi, entre deux leçons, on doit en général préférer celle dont l'interprétation est la plus difficile, parce que cette difficulté même explique l'origine de l'autre; et plus une variante parait convenable, moins elle a de probabilité».
Souvent, les changements ont pu être inspirés par les meilleures intentions, par le respect même pour le texte sacré ou par le désir de l'adapter à l'usage ecclésiastique.
Voici sous quelles formes elles ont pu se produire:
Changement de formes provinciales en formes classiques, ou l'inverse; changement de formes rares en formes usuelles; corrections grammaticales; corrections de style; additions destinées ou à rendre le texte plus clair, ou à faire ressortir le parallélisme de la pensée; modifications destinées à rendre uniformes des passages parallèles, soit dans les Évangiles, soit dans les Épîtres; modifications amenées par l'usage liturgique; fautes provenant d'une perception fautive de texte, soit par l'oreille (si le copiste écrivait sous la dictée), soit par les yeux, ou d'une abréviation mal comprise; omissions de mots répétés dans l'original; division erronée des mots, que l'écriture onciale ne séparait pas; modification de passages qui pouvaient paraître étranges ou malsonnants; atténuations provenant de la décadence de la vie spirituelle dans l'Église; modifications dogmatiques, amenées par les controverses avec les hérétiques.
Ces altérations, toutefois, furent enrayées dès qu'il y eut, avec un canon, un texte qui s'imposait à la vénération des églises. Déjà au second siècle, Origène s'efforce de rétablir le texte biblique dans son intégrité. Pourtant, en 1707, John Mill signalait l'existence de trente mille variantes dans le Nouveau Testament grec. Mais le nombre des variantes importantes est extrêmement restreint, et aucune d'elles ne saurait, dit M. Rilliet, «porter la moindre atteinte ni aux vérités de fait, ni aux vérités de dogme qui constituent l'essence de l'Évangile» (*).
(*) Voici l'histoire de la variante la plus importante et la plus célèbre du Nouveau Testament.
Dans les éditions modernes du Nouveau Testament, par exemple dans la version révisée anglaise, dans la version synodale (1903), dans le Nouveau Testament grec de Nestle édité par la Société britannique, aux versets 7 et 8 du chapitre 5 de la première épître de Jean, il manque les mots suivants, qu'on était habitué à trouver dans Ostervald et Martin : « ... dans le ciel, le Père, la Parole et le Saint-Esprit et ces trois sont un. Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre». Ces mots sont une interpolation (reproduite en note marginale par les éditions que nous venons de mentionner).
Elle ne se trouve dans aucun des deux cent cinquante manuscrits grecs qui contiennent les mots qui précédent et ceux qui suivent. On rencontre une leçon qui y ressemble dans quatre manuscrits grecs seulement, tous postérieurs à 1400, et ce passage y fait l'effet d'une interpolation. Aucun écrivain grec ne cite ces mots avant 1215, même dans les discussions sur la Trinité. Les chrétiens de Russie, de Géorgie, d'Arménie, de Perse, d'Arabie, de Syrie, d'Abyssinie et d'Égypte, ne les ont jamais connus, car ils ne se trouvent pas dans les nombreuses versions de ces divers pays.
Parmi les manuscrits que l'on possède aujourd'hui, le premier qui contienne ces mots est un manuscrit latin du septième siècle, aujourd'hui à Munich. Ils sont absents de tous les manuscrits utilisés par Alcuin, vers 800. Les meilleurs des manuscrits les plus anciens de la Vulgate (huitième, neuvième et dixième siècles) les omettent. On les trouve dans la plupart des autres manuscrits latins, mais ils font d'abord leur apparition ajoutés après le verset 8, et figurent souvent comme l'interpolation d'un écrivain postérieur.
Voilà pour le témoignage des manuscrits. Quant à l'histoire, la plus ancienne trace qu'elle semble nous apporter de ces paroles, c'est leur citation dans une confession de foi rédigée en 484 par l'évêque Eugène de Carthage et par d'autres évêques, à l'usage de Hunneric, roi des Vandales, qui persécutait les chrétiens d'Afrique. Nous n'avons pas, d'ailleurs, l'original de cette confession de foi, mais seulement une copie, postérieure probablement au septième siècle.
Quoique ce passage se lise dans la Vulgate, version sanctionnée par le Concile de Trente, des théologiens catholiques, parmi lesquels, en 1885, l'abbé Martin, professeur d'exégèse à la Faculté de théologie de Paris, se sont prononcés contre son authenticité. Dernièrement, sur la demande de Pie X, la commission des études bibliques du Vatican s'est prononcée dans le même sens. «Je suis très convaincu, a dit le pape à un des membres de la commission, par les bonnes raisons exposées dans votre rapport; mais, pour des motifs de convenance et d'opportunité que vous apprécierez, je crois qu'il est préférable de ne pas le publier».
Le lecteur pensera sans doute que la méthode suivie par les éditions nommées plus haut vaut mieux que celle préconisée par le pape.
Néanmoins, cela va sans dire, le lecteur du Nouveau Testament ne saurait être trop jaloux de posséder le texte sacré sous une forme qui se rapproche, autant que possible, de sa forme primitive. Et ce n'est, il faut le dire, qu'après un temps assez long et de laborieux efforts, que les éditeurs ou les traducteurs du Nouveau Testament ont fait droit à un désir si légitime.
http://www.bibliquest.org/Lortsch/Lortsch-Histoire_Bible_France-4.htm#TM22
_________________
Dans toute copie, nous l'avons déjà dit (voir Fragment I), les erreurs sont inévitables. Avec le nombre des copies, elles augmentent fatalement. Si déjà Origène se plaignait amèrement de l'état des manuscrits de son temps, on comprend qu'à plus forte raison, au seizième siècle, on fût loin de se trouver en présence d'un texte uniforme du Nouveau Testament (*).
(*) «Il en est un peu des copies successives d'un texte, dit M. Rilliet, dans la préface de sa traduction du Nouveau Testament, comme du cours d'un ruisseau. La forme première de la parole écrite se modifie bien plus par voie d'accroissement et d'agrégation, que par voie de condensation et de retranchement. Dans la multiplication graphique, les éléments adventices sont bien plus nombreux que les éléments supprimés. Rendre plus clair ce qui est grammaticalement obscur, corriger ce que l'on croit inexact ou erroné, substituer ce qui semble naturel à ce qui paraît étrange, éclaicir les contradictions réelles ou apparentes, introduire la glose à côté ou à la place du mot qu'elle explique, compléter ce que l'on trouve insuffisant, enrichir les récits en y insérant les détails analogues tirés d'ailleurs et que l'on veut sauver de l'oubli, conformer l'une à l'autre les narrations diverses d'un même fait, ou les formules d'un même enseignement : voilà quelques-uns des traits du travail auquel les copistes-correcteurs se livrent généralement, ainsi que l'expérience le démontre, dans la reproduction des textes. Quant aux omissions, elles ont le plus souvent lieu par inadvertance, et elles proviennent ordinairement de l'identité des mots entre lesquels se trouve placée la phrase ou l'expression omise. Les suppressions intentionnelles sont presque toujours dictées par le désir de faire disparaître des difficultés ou des contradictions qui sont embarrassantes ou qui paraissent insolubles. Enfin, des altérations plus ou moins graves sont dues à la négligence ou à l'ignorance des copistes, dont les uns voient ou entendent mal, dont les autres, ne comprenant pas ce qu'ils transcrivent, dénaturent le texte ou estropient la langue.
«Les divergences qu'offrent les manuscrits du Nouveau Testament dérivent toutes des causes que nous venons d'indiquer, et que signalent déjà les Origène et les Jérôme. Le texte sacré a été fréquemment transcrit avec inadvertance ou incurie; mais il a été aussi intentionnellement corrigé, élucidé, complété, en sorte que ce sont souvent les variantes qui paraissent au premier coup d'oeil les plus naturelles et le mieux à leur place, qui ont le moins de chances d'appartenir au texte primitif. Ainsi, entre deux leçons, on doit en général préférer celle dont l'interprétation est la plus difficile, parce que cette difficulté même explique l'origine de l'autre; et plus une variante parait convenable, moins elle a de probabilité».
Souvent, les changements ont pu être inspirés par les meilleures intentions, par le respect même pour le texte sacré ou par le désir de l'adapter à l'usage ecclésiastique.
Voici sous quelles formes elles ont pu se produire:
Changement de formes provinciales en formes classiques, ou l'inverse; changement de formes rares en formes usuelles; corrections grammaticales; corrections de style; additions destinées ou à rendre le texte plus clair, ou à faire ressortir le parallélisme de la pensée; modifications destinées à rendre uniformes des passages parallèles, soit dans les Évangiles, soit dans les Épîtres; modifications amenées par l'usage liturgique; fautes provenant d'une perception fautive de texte, soit par l'oreille (si le copiste écrivait sous la dictée), soit par les yeux, ou d'une abréviation mal comprise; omissions de mots répétés dans l'original; division erronée des mots, que l'écriture onciale ne séparait pas; modification de passages qui pouvaient paraître étranges ou malsonnants; atténuations provenant de la décadence de la vie spirituelle dans l'Église; modifications dogmatiques, amenées par les controverses avec les hérétiques.
Ces altérations, toutefois, furent enrayées dès qu'il y eut, avec un canon, un texte qui s'imposait à la vénération des églises. Déjà au second siècle, Origène s'efforce de rétablir le texte biblique dans son intégrité. Pourtant, en 1707, John Mill signalait l'existence de trente mille variantes dans le Nouveau Testament grec. Mais le nombre des variantes importantes est extrêmement restreint, et aucune d'elles ne saurait, dit M. Rilliet, «porter la moindre atteinte ni aux vérités de fait, ni aux vérités de dogme qui constituent l'essence de l'Évangile» (*).
(*) Voici l'histoire de la variante la plus importante et la plus célèbre du Nouveau Testament.
Dans les éditions modernes du Nouveau Testament, par exemple dans la version révisée anglaise, dans la version synodale (1903), dans le Nouveau Testament grec de Nestle édité par la Société britannique, aux versets 7 et 8 du chapitre 5 de la première épître de Jean, il manque les mots suivants, qu'on était habitué à trouver dans Ostervald et Martin : « ... dans le ciel, le Père, la Parole et le Saint-Esprit et ces trois sont un. Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre». Ces mots sont une interpolation (reproduite en note marginale par les éditions que nous venons de mentionner).
Elle ne se trouve dans aucun des deux cent cinquante manuscrits grecs qui contiennent les mots qui précédent et ceux qui suivent. On rencontre une leçon qui y ressemble dans quatre manuscrits grecs seulement, tous postérieurs à 1400, et ce passage y fait l'effet d'une interpolation. Aucun écrivain grec ne cite ces mots avant 1215, même dans les discussions sur la Trinité. Les chrétiens de Russie, de Géorgie, d'Arménie, de Perse, d'Arabie, de Syrie, d'Abyssinie et d'Égypte, ne les ont jamais connus, car ils ne se trouvent pas dans les nombreuses versions de ces divers pays.
Parmi les manuscrits que l'on possède aujourd'hui, le premier qui contienne ces mots est un manuscrit latin du septième siècle, aujourd'hui à Munich. Ils sont absents de tous les manuscrits utilisés par Alcuin, vers 800. Les meilleurs des manuscrits les plus anciens de la Vulgate (huitième, neuvième et dixième siècles) les omettent. On les trouve dans la plupart des autres manuscrits latins, mais ils font d'abord leur apparition ajoutés après le verset 8, et figurent souvent comme l'interpolation d'un écrivain postérieur.
Voilà pour le témoignage des manuscrits. Quant à l'histoire, la plus ancienne trace qu'elle semble nous apporter de ces paroles, c'est leur citation dans une confession de foi rédigée en 484 par l'évêque Eugène de Carthage et par d'autres évêques, à l'usage de Hunneric, roi des Vandales, qui persécutait les chrétiens d'Afrique. Nous n'avons pas, d'ailleurs, l'original de cette confession de foi, mais seulement une copie, postérieure probablement au septième siècle.
Quoique ce passage se lise dans la Vulgate, version sanctionnée par le Concile de Trente, des théologiens catholiques, parmi lesquels, en 1885, l'abbé Martin, professeur d'exégèse à la Faculté de théologie de Paris, se sont prononcés contre son authenticité. Dernièrement, sur la demande de Pie X, la commission des études bibliques du Vatican s'est prononcée dans le même sens. «Je suis très convaincu, a dit le pape à un des membres de la commission, par les bonnes raisons exposées dans votre rapport; mais, pour des motifs de convenance et d'opportunité que vous apprécierez, je crois qu'il est préférable de ne pas le publier».
Le lecteur pensera sans doute que la méthode suivie par les éditions nommées plus haut vaut mieux que celle préconisée par le pape.
Néanmoins, cela va sans dire, le lecteur du Nouveau Testament ne saurait être trop jaloux de posséder le texte sacré sous une forme qui se rapproche, autant que possible, de sa forme primitive. Et ce n'est, il faut le dire, qu'après un temps assez long et de laborieux efforts, que les éditeurs ou les traducteurs du Nouveau Testament ont fait droit à un désir si légitime.
http://www.bibliquest.org/Lortsch/Lortsch-Histoire_Bible_France-4.htm#TM22
_________________
Re: 150.000 lectures différentes de la bible !!!!!
30.000 variantes subiste encore dans la bible:
http://bit.ly/1vKQJ1s
Les Bibles modernes ont ces choses en commun:
a) Elles sont tous basées sur les mêmes manuscrits corrompus et défectueux de la Septante, que les apostasiés prétendent être "les plus anciens et les meilleurs": le Vaticanus et le Sinaiticus.
b) Elles contiennent tous des divergences importantes lorsqu'elles sont comparées avec une Bible fidèle comme la Bible Martin et la Bible Ostervald, ainsi que la célèbre King James.
c) Elles s'attaquent tous aux doctrines essentielles de la foi chrétienne, malgré les affirmations du contraire par les tièdes du modernisme.
d) Elles s'opposent tous au texte de la Bible des Réformateurs dans sa traduction anglaise de la King James, dans ses traductions françaises de la Martin et de l'Ostervald, dans sa traduction italienne de la Diodati, dans sa traduction allemande de Luther, dans sa traduction espagnole de la Valera, et dans sa traduction portugaise de l'Almeida.
e) Elles sont tous des falsifications de la Parole de Dieu.
f) Elles sont tous responsables de causer le doute sur ce que Dieu dit, faisant de lui un menteur et l'auteur de la confusion.
g) Elles prétendent tous être basées sur "les Textes Originaux", lorsqu'en réalité elles sont basées sur le texte falsifié de Westcott et Hort, nommé aussi le Texte Minoritaire et le Texte Néologique.
La Bible Authentique:Quelle Version?
Défensive du Texte Authentique des Apôtres,
des Vaudois, des Réformateurs et de tous les élus.
Jean leDuc "Lux lucet in tenebris"
http://bit.ly/1zW1JXT
Variantes textuelles du Nouveau Testament
http://fr.wikipedia.org/wiki/Variantes_textuelles_du_Nouveau_Testament#p-search
Les variantes textuelles sont les altérations d’un texte qui surviennent par propagation des erreurs (intentionnelles ou accidentelles) des copistes. Ces altérations peuvent être la suppression ou la répétition d’un mot, ce qui arrive lorsque l’œil du copiste revient à un mot semblable à un endroit du texte distinct de celui qu’il était en train de recopier. Dans d’autres cas, le copiste peut répéter du texte d’un passage semblable ou parallèle, par un automatisme de sa mémoire (subvocalisation).
Dès 1707, le théologien John Mill signalait l’existence de 30 000 variantes dans le Nouveau Testament grec1. Eberhard Nestle a réévalué ce nombre de 150 000 à 200 0002. Aujourd’hui, on estime avec Bart Ehrman qu'il y aurait environ 400 000 variantes3.
Nous possédons actuellement plus de 5 800 manuscrits grecs complets du Nouveau Testament, plus de 10 000 manuscrits de la version latine de la Vulgate, et 9 300 copies d’autres versions.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Variantes_textuelles_du_Nouveau_Testament
http://bit.ly/1vKQJ1s
Les Bibles modernes ont ces choses en commun:
a) Elles sont tous basées sur les mêmes manuscrits corrompus et défectueux de la Septante, que les apostasiés prétendent être "les plus anciens et les meilleurs": le Vaticanus et le Sinaiticus.
b) Elles contiennent tous des divergences importantes lorsqu'elles sont comparées avec une Bible fidèle comme la Bible Martin et la Bible Ostervald, ainsi que la célèbre King James.
c) Elles s'attaquent tous aux doctrines essentielles de la foi chrétienne, malgré les affirmations du contraire par les tièdes du modernisme.
d) Elles s'opposent tous au texte de la Bible des Réformateurs dans sa traduction anglaise de la King James, dans ses traductions françaises de la Martin et de l'Ostervald, dans sa traduction italienne de la Diodati, dans sa traduction allemande de Luther, dans sa traduction espagnole de la Valera, et dans sa traduction portugaise de l'Almeida.
e) Elles sont tous des falsifications de la Parole de Dieu.
f) Elles sont tous responsables de causer le doute sur ce que Dieu dit, faisant de lui un menteur et l'auteur de la confusion.
g) Elles prétendent tous être basées sur "les Textes Originaux", lorsqu'en réalité elles sont basées sur le texte falsifié de Westcott et Hort, nommé aussi le Texte Minoritaire et le Texte Néologique.
La Bible Authentique:Quelle Version?
Défensive du Texte Authentique des Apôtres,
des Vaudois, des Réformateurs et de tous les élus.
Jean leDuc "Lux lucet in tenebris"
http://bit.ly/1zW1JXT
Variantes textuelles du Nouveau Testament
http://fr.wikipedia.org/wiki/Variantes_textuelles_du_Nouveau_Testament#p-search
Les variantes textuelles sont les altérations d’un texte qui surviennent par propagation des erreurs (intentionnelles ou accidentelles) des copistes. Ces altérations peuvent être la suppression ou la répétition d’un mot, ce qui arrive lorsque l’œil du copiste revient à un mot semblable à un endroit du texte distinct de celui qu’il était en train de recopier. Dans d’autres cas, le copiste peut répéter du texte d’un passage semblable ou parallèle, par un automatisme de sa mémoire (subvocalisation).
Dès 1707, le théologien John Mill signalait l’existence de 30 000 variantes dans le Nouveau Testament grec1. Eberhard Nestle a réévalué ce nombre de 150 000 à 200 0002. Aujourd’hui, on estime avec Bart Ehrman qu'il y aurait environ 400 000 variantes3.
Nous possédons actuellement plus de 5 800 manuscrits grecs complets du Nouveau Testament, plus de 10 000 manuscrits de la version latine de la Vulgate, et 9 300 copies d’autres versions.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Variantes_textuelles_du_Nouveau_Testament
Sujets similaires
» Même espèce ou espèces différentes ?
» Falsfication de la bible
» Mythes de la bible
» Bible est Falsifiée
» Coran n'est pas comme la BIBLE
» Falsfication de la bible
» Mythes de la bible
» Bible est Falsifiée
» Coran n'est pas comme la BIBLE
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum